Errata
11 x 15 cm
6€
ISBN : 979-10-95922-56-8
Sortie : septembre 2023
Depuis son premier album précoce en 2006, Thomas Gosselin est devenu une figure incontournable des approches digressives en bande dessinée. Toujours ancrées dans un cadre fictionnel, les propositions de l’auteur ne reposent en effet pas moins, le plus souvent, sur la recherche d’extrapolations philosophico-théoriques funambulesques, oscillant entre le plus grand sérieux et un délire consommé.
Sa bibliographie est désormais riche de plusieurs dizaines de références, notamment chez Atrabile, et il collabore avec divers dessinateurs en tant que scénariste (F. Henninger, G. Nanni, I. Moutte, etc.).
Errata est une bande dessinée ayant pour objet une mise en déroute particulièrement joueuse du récit romanesque, en ce qu’elle est exclusivement constituée, ainsi que son titre l’indique, d’errata, c’est à dire de cases destinées à venir s’insérer ou à remplacer celles d’un album dont nous ne connaissons pourtant rien.
Plongeant sans réserve au coeur d’une esthétique du manque, Thomas Gosselin invite donc ses lecteurs à la plus grande implication. On lira alors cette bande dessinée aussi bien en tant que somme de micro-événements autonomes, répertoire de pistes narratives à interpréter ou à partir desquelles digresser, ou encore récit fragmentaire à reconstituer.
Errata
11 x 15 cm
6€
ISBN : 979-10-95922-56-8
Sortie : septembre 2023
Depuis son premier album précoce en 2006, Thomas Gosselin est devenu une figure incontournable des approches digressives en bande dessinée. Toujours ancrées dans un cadre fictionnel, les propositions de l’auteur ne reposent en effet pas moins, le plus souvent, sur la recherche d’extrapolations philosophico-théoriques funambulesques, oscillant entre le plus grand sérieux et un délire consommé.
Sa bibliographie est désormais riche de plusieurs dizaines de références, notamment chez Atrabile, et il collabore avec divers dessinateurs en tant que scénariste (F. Henninger, G. Nanni, I. Moutte, etc.).
Errata est une bande dessinée ayant pour objet une mise en déroute particulièrement joueuse du récit romanesque, en ce qu’elle est exclusivement constituée, ainsi que son titre l’indique, d’errata, c’est à dire de cases destinées à venir s’insérer ou à remplacer celles d’un album dont nous ne connaissons pourtant rien.
Plongeant sans réserve au coeur d’une esthétique du manque, Thomas Gosselin invite donc ses lecteurs à la plus grande implication. On lira alors cette bande dessinée aussi bien en tant que somme de micro-événements autonomes, répertoire de pistes narratives à interpréter ou à partir desquelles digresser, ou encore récit fragmentaire à reconstituer.