Romance
17,5 x 24,8 cm
8€
ISBN : 979-10-95922-55-1
Sortie : septembre 2023
Trente ans désormais que Kerozen disperse son oeuvre de dessinateur compulsif aux quatre vents des entreprises éditoriales les plus stimulantes du graph’zine européen,
accompagnant dès ses débuts l’émergence du Dernier Cri, de Chacal Puant ou de CBO, parmi tant d’autres.
D’abord porté par un intérêt relatif aux arts dits “primitifs” ou “bruts”, il n’hésitera néanmoins pas à orienter ensuite sa pratique en direction d’esthétiques plus modernistes ou épurées, parfois proches du cubisme ou lorgnant vers l’abstraction.
Avec Romance — collection de planches initialement publiées à 50 exp. en 2019 chez FLTMSTPC, la structure qu’il a lui-même fondé et qu’il anime encore aujourd’hui —, il convoque cette fois un carnaval angoissé de figures fantômatiques prises dans l’errance de cases de bande dessinée. Une occasion de travailler avec nos mémoires hantées par les spectres d’une production industrielle peu soucieuse du trait des artistes qui l’auront alimentée durant des décennies.
Réinjectant l’usage de la trame dans la main-même du dessinateur, balafrant ses planches selon une méthode tachiste renvoyant à CoBrA, Kerozen offre aux éditions Adverse une merveilleuse occasion d’hommage à une certaine histoire du dessin sauvage.
Romance
17,5 x 24,8 cm
8€
ISBN : 979-10-95922-55-1
Sortie : septembre 2023
Trente ans désormais que Kerozen disperse son oeuvre de dessinateur compulsif aux quatre vents des entreprises éditoriales les plus stimulantes du graph’zine européen,
accompagnant dès ses débuts l’émergence du Dernier Cri, de Chacal Puant ou de CBO, parmi tant d’autres.
D’abord porté par un intérêt relatif aux arts dits “primitifs” ou “bruts”, il n’hésitera néanmoins pas à orienter ensuite sa pratique en direction d’esthétiques plus modernistes ou épurées, parfois proches du cubisme ou lorgnant vers l’abstraction.
Avec Romance — collection de planches initialement publiées à 50 exp. en 2019 chez FLTMSTPC, la structure qu’il a lui-même fondé et qu’il anime encore aujourd’hui —, il convoque cette fois un carnaval angoissé de figures fantômatiques prises dans l’errance de cases de bande dessinée. Une occasion de travailler avec nos mémoires hantées par les spectres d’une production industrielle peu soucieuse du trait des artistes qui l’auront alimentée durant des décennies.
Réinjectant l’usage de la trame dans la main-même du dessinateur, balafrant ses planches selon une méthode tachiste renvoyant à CoBrA, Kerozen offre aux éditions Adverse une merveilleuse occasion d’hommage à une certaine histoire du dessin sauvage.